Once upon a time

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Elfy Ka,
artiste indépendante

Très tôt, elle a eu la chance de croiser le chemin de personnes influentes qui ont su la guider et la mettre en lumière: après sa rencontre avec Jay Alansky, Marc Lambroso, Pascal Nègre, ou plus récemment Vincent Prezioso, Elfy expérimente, créer inlassablement, passionnément.

Parce qu’il s’agit véritablement de passion dans sa vie: la passion des mots, du piano, la passion sans raison de la musique qu’elle a découverte petite fille et qui a transformé sa vie.

Des accidents de parcours elle en a rencontré, comme bon nombre. Des déceptions, des trahisons, et cette peur de ne plus être à la hauteur.

Ses cicatrices elle a appris à les soigner grâce à l’écriture (elle tient un blog qui a été un véritable tremplin entre elle et sa fan base, juste avant l’explosion des réseaux sociaux).

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Plasticienne, depuis quelques années, elle découpe et recolle des morceaux de sa vie au travers de nombreux collages, sous forme de collections en vente sur son site.

Sur scène, ils lui servent de décor et prennent vie en chanson

Deux albums aboutis plus tard, “Lisa sans son étoile”, “L Dit” et la sortie en catimini d’un coffret incluant des inédits, Elfy accompagnée cette fois ci d’un DJ, renoue avec l’electro, l’ambient, le chill… pour expérimenter, toujours sur le fil, de la chanson cinématographique,

…de la musique pour les yeux.

UNE RÉSIDENCE AU THÉÂTRE LES DÉCHARGEURS

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Après la sortie de son Single “L Dit” et de son clip, Elfy s’est produit au Théâtre Les Déchargeurs, en plein cœur de Paris, chaque jeudi soir pendant 3 mois. Accompagnée de ses musiciens elle a offert un concert chaleureux et intimiste autour de sentiments forts comme l’amour, le désamour, la colère, le manque. Des chansons “pop-rockmantique”, liées entre elles par un fil rouge subtil qu’elle a laissé le soin au public d’apprécier, les yeux dans les yeux.

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